Le coeur murmure à l'âme,
Bien plus qu'une alchimie,
Le long des lignes infinies,
Tout me paraît insensé,
Comme tant de baiser sans brasier,
Tant d'amours illusoires,
Des mots pourquoi,
Qu'avons-nous de plus en nous,
Que notre coeur bat,
Que notre haine excelle,
Dans une infime parcelle,
Nous semions la terre,
De nos larmes un étendard.
soleil sur ma figure défiguré,
mes yeux brille devant cette poitrine dorée,
je sais quel sais mais si jamais je serais m'héberger,
flotter le long du courant prenant ses jambes à mon cou,
essayer donc de remonter le cours d'eau en flottant,
m'emportant au longue courbe de l'ocean,
ne voyant plus que le vide sans fin,
bras guider par les petite secousse de vague,
quel beau visage écoutant les divagation vague,
quelle belle petite femme plongeons profondément au fond de l'ocean
mais fait attention de ne pas boire la tasse...
splash plash lash,
foutue pare brise,
splash blash blash,
foutue pare brise,
la pluie ne cesse de rire,
partout des petites gouttes sur ma petite vitre,
le soleil arrive douce odeur de route mouiller,
lève le frein à mains on repart sur la route....
soleil rivée sur ma face,
éblouie je jouis à petite goutte,
devant moi un déjanté saute,
freine sec lève la tête,
j'ai perdu mes boules sur un coup d'autoroute...
petit essai littéraire pour passer le temps en improvisation encore
" en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes enculer de frere me laisse toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne fallait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulais, mais moi je les quand même bue, y'avait peut-être plus de bulle mais bon "
" Nous, nous marchions dans le froid, rien au ventre, bon sang, on se disait comment en est-on arriver là, notre histoire est classique, cyclique, comme un putain de récit mais le nôtre était bien différent, parce que c'était nous. J'étais la quand soudain, il me parla d'imagination, d'un monde sans limite, d'un autisme communautaire, moi je ne l'écoutais pas, il était fou, le fou de la bande, il en faut toujours un vous savez, celui qui vous fait sourire sincèrement, en grandissant, nous voulions plus, mais pas d'argent, d'aventure, de folie, il nous avait contaminés, comme une joie de vivre qui se transmet quand les coeurs son liaient, sauf qu'un jour l’héroïne dont il avait tant rêvé étant gosse, l'avait simplement tué, est quand nous regardions aujourd'hui autour de nous, nous n'oublions pas,Chaque histoire fictive retranscrit un sentiment profond, l'illusion n'est là que pour contraster la réalité, la vie pour nous n'étais qu'un rêve, est lui avait cessé d'aimer les jours il a cessé d'être ce qu'il était. "
j'ai pas encore l'envie d'écrire vraiment souvent j'attends le bon moment je le sentirais venir au bon moment, peace tout le monde bonne soirée
Bien plus qu'une alchimie,
Le long des lignes infinies,
Tout me paraît insensé,
Comme tant de baiser sans brasier,
Tant d'amours illusoires,
Des mots pourquoi,
Qu'avons-nous de plus en nous,
Que notre coeur bat,
Que notre haine excelle,
Dans une infime parcelle,
Nous semions la terre,
De nos larmes un étendard.
soleil sur ma figure défiguré,
mes yeux brille devant cette poitrine dorée,
je sais quel sais mais si jamais je serais m'héberger,
flotter le long du courant prenant ses jambes à mon cou,
essayer donc de remonter le cours d'eau en flottant,
m'emportant au longue courbe de l'ocean,
ne voyant plus que le vide sans fin,
bras guider par les petite secousse de vague,
quel beau visage écoutant les divagation vague,
quelle belle petite femme plongeons profondément au fond de l'ocean
mais fait attention de ne pas boire la tasse...
splash plash lash,
foutue pare brise,
splash blash blash,
foutue pare brise,
la pluie ne cesse de rire,
partout des petites gouttes sur ma petite vitre,
le soleil arrive douce odeur de route mouiller,
lève le frein à mains on repart sur la route....
soleil rivée sur ma face,
éblouie je jouis à petite goutte,
devant moi un déjanté saute,
freine sec lève la tête,
j'ai perdu mes boules sur un coup d'autoroute...
petit essai littéraire pour passer le temps en improvisation encore
" en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes enculer de frere me laisse toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne fallait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulais, mais moi je les quand même bue, y'avait peut-être plus de bulle mais bon "
" Nous, nous marchions dans le froid, rien au ventre, bon sang, on se disait comment en est-on arriver là, notre histoire est classique, cyclique, comme un putain de récit mais le nôtre était bien différent, parce que c'était nous. J'étais la quand soudain, il me parla d'imagination, d'un monde sans limite, d'un autisme communautaire, moi je ne l'écoutais pas, il était fou, le fou de la bande, il en faut toujours un vous savez, celui qui vous fait sourire sincèrement, en grandissant, nous voulions plus, mais pas d'argent, d'aventure, de folie, il nous avait contaminés, comme une joie de vivre qui se transmet quand les coeurs son liaient, sauf qu'un jour l’héroïne dont il avait tant rêvé étant gosse, l'avait simplement tué, est quand nous regardions aujourd'hui autour de nous, nous n'oublions pas,Chaque histoire fictive retranscrit un sentiment profond, l'illusion n'est là que pour contraster la réalité, la vie pour nous n'étais qu'un rêve, est lui avait cessé d'aimer les jours il a cessé d'être ce qu'il était. "
j'ai pas encore l'envie d'écrire vraiment souvent j'attends le bon moment je le sentirais venir au bon moment, peace tout le monde bonne soirée